J’écris des histoires où suspense, romance et fantastique se rencontrent dans un univers réaliste et immersif. Ce qui me passionne : explorer les émotions humaines.”

Actuellement en vente

Elara pensait passer des vacances tranquilles en Bretagne, mais sa rencontre avec un musicien séduisant l’entraîne jusqu’au royaume de Brocéliande : un monde fascinant, régi par la Reine Dahut.

Pendant ce temps, Morgane Meyer, journaliste en quête de vérité, suit la trace d’Elara… et découvre que d’autres femmes se sont évaporées sans laisser de trace.

Entre complots anciens, magie celtique et révélations, leur survie dépendra de leur capacité à affronter l’inconnu.

Et ce qu’elles y trouveront pourrait bien changer leur vie à tout jamais.

Biographie

Mon inspiration

À l’époque, je ne pensais pas à devenir autrice, ni à faire de l’écriture un métier. Mais j’aimais déjà raconter des histoires.

Imaginer, enjoliver le réel ou romancer des rêves épiques qui restaient vifs au réveil.

À douze ans, je grattais frénétiquement des cahiers, enchaînant les idées de fanfictions et les récits décousus. J’écrivais en pattes de mouche, juste assez illisible pour que moi seule puisse me relire. Les pensées d’une ado lui appartiennent, après tout.

L’écriture est, pour moi, une manière de coucher sur du papier des mots, un récit, au même titre que la peinture sur une toile. Les lignes du stylo formant parfois des lettres, parfois des images.

Ce n’est qu’après m’être découvert une passion pour les romans de science-fiction et de fantasy que l’envie m’est revenue de raconter une histoire, un univers. Reprenant les bribes de mes cahiers noircis d’enfant, les mélangeant à mes expériences d’adulte et aux centaines de livres qui m’avaient nourrie entre-temps.

Mon premier roman n’a jamais été terminé. Trop d’idées, trop d’enthousiasme. Mais l’univers, lui, était né. Dix ans plus tard, Les Disparues de Brocéliande, mon second roman, sera le premier à être publié.

Je me suis fixé l’objectif d’écrire en moins de trois mois, car il est trop facile de procrastiner ou de se donner des excuses.

Alors battons le fer tant qu’il est chaud et écrivons, jusqu’à la crampe dans la main, jusqu’à l’aube, parce qu’un personnage murmure à l’oreille. Jusqu’à ce que les lettres du carnet glissent sur l’écran et que l’odeur du papier imprimé embaume le bureau avec satisfaction.

Lisez, riez, pleurez, détestez, aimez.