
“J’écris des histoires où suspense, romance et fantastique se rencontrent dans un univers réaliste et immersif. Ce qui me passionne : explorer les émotions humaines.”
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Une journaliste. Des disparitions inexpliquées. Un royaume oublié.
Et si ce que nous pensions relever de l’imaginaire, du folklore et des légendes… existait réellement ?
Elara pensait passer des vacances tranquilles en Bretagne, mais sa rencontre avec un musicien séduisant l’entraîne jusqu’au royaume de Brocéliande : un monde fascinant, régi par la Reine Dahut.
Pendant ce temps, Morgane Meyer, journaliste en quête de vérité, suit la trace d’Elara… et découvre que d’autres femmes se sont évaporées sans laisser de trace.
Entre complots anciens, magie celtique et révélations, leur survie dépendra de leur capacité à affronter l’inconnu.
Et ce qu’elles y trouveront pourrait bien changer leur vie à tout jamais.
Un roman envoûtant mêlant romance fantastique, suspense et mythes celtiques.
Premier tome d’un diptyque haletant pour les amateurs d’aventure, de mystères, de mondes enchanteurs et d’histoires d’amour véritable.
Biographie
Francesca Jarry, auteure de romans mêlant suspense, romance et fantastique, toujours ancrés dans un univers cohérent où l’émotion occupe une place centrale. Depuis plus de onze ans, elle construit des histoires qui explorent les frontières du réel et de l’imaginaire, interrogeant la place des créatures mythiques dans notre monde et les relations qu’elles pourraient entretenir avec l’humanité.
Elle est l’auteure de “Les Disparues de Brocéliande”, une duologie de romance fantastique et d’aventure, dont le premier tome est en cours de parution et le second en précommande. Son thriller techno-psychologique “Stella Encarta”, mêlant intelligence artificielle et romance urbaine, paraîtra prochainement. Elle travaille actuellement sur “Aldaria”, une fresque de low fantasy en plusieurs tomes.
Infographiste de formation, praticienne et formatrice en soins, Francesca Jarry publie en autoédition et prévoit un rythme de parution d’un livre tous les six mois à un an.
Mon inspiration
Mon premier souvenir d’écriture remonte au primaire. Une double page A5 pour décrire un événement marquant de nos vacances : la nuit où j’ai quitté en douce ma chambre de colo pour aller manger des fraises sauvages. (Elles étaient délicieuses et avaient un petit goût d’interdit.)
À l’époque, je ne pensais pas à devenir autrice, ni à faire de l’écriture un métier. Mais j’aimais déjà raconter des histoires.
Imaginer, enjoliver le réel ou romancer des rêves épiques qui restaient vifs au réveil.
À douze ans, je grattais frénétiquement des cahiers, enchaînant les idées de fanfictions et les récits décousus. J’écrivais en pattes de mouche, juste assez illisible pour que moi seule puisse me relire. Les pensées d’une ado lui appartiennent, après tout.
L’écriture est, pour moi, une manière de coucher sur du papier des mots, un récit, au même titre que la peinture sur une toile. Les lignes du stylo formant parfois des lettres, parfois des images.
Ce n’est qu’après m’être découvert une passion pour les romans de science-fiction et de fantasy que l’envie m’est revenue de raconter une histoire, un univers. Reprenant les bribes de mes cahiers noircis d’enfant, les mélangeant à mes expériences d’adulte et aux centaines de livres qui m’avaient nourrie entre-temps.
Mon premier roman n’a jamais été terminé. Trop d’idées, trop d’enthousiasme. Mais l’univers, lui, était né. Dix ans plus tard, Les Disparues de Brocéliande, mon second roman, sera le premier à être publié.
Je me suis fixé l’objectif d’écrire en moins de trois mois, car il est trop facile de procrastiner ou de se donner des excuses.
Alors battons le fer tant qu’il est chaud et écrivons, jusqu’à la crampe dans la main, jusqu’à l’aube, parce qu’un personnage murmure à l’oreille. Jusqu’à ce que les lettres du carnet glissent sur l’écran et que l’odeur du papier imprimé embaume le bureau avec satisfaction.
Lisez, riez, pleurez, détestez, aimez.
Bienvenue chez moi !